maitredessens

Dans l'alcôve le plus recouvert par les couvertures, les amants se glissèrent et se livrèrent à des jeux entre glace et froid. Il était un véritable feu ambiant et sa peau à elle n'était que glace de l'hiver qui se préparait. Elle se transforma dans son panthéon de personnages. La vouivre ? La dominatrice ? La femme infidèle ? La libertine ? L'incitatrice ? Un peu tout à la fois. Elle ne sucera pas son membre ce soir-là. Lui a commencé, comme à son habitude à se caresser son phallique objet sous les draps. Elle lapera longtemps très longtemps ses péchés mignons. Les hommes, leurs torses, leurs têtons elles en raffole. C'est comme cela elle aime les travailler, les titiller, les pincer pour sentir l'être sous elle sortir de son rôle et devenir ce qu'on lui sussure souvent à l'oreille. Il devient mec, mec salope, livré aux vices de madame. Dans le noir complet, ils parleront sex-shop, d'un engodage qu'elle lui pratique face à un porno dans une cabine à la porte entrebaillée. Elle imaginera en lui disant fort que deux hommes sont rentrés, sexe en mains qui les regardent, bavant devant la beauté parfaite de cette initiatrice vicieuse. Elle lui dit qu'elle les sucera, bien profondément comme elle lui fait, et qu'elle se fait prendre toute entière en se faisant vaginer copieusement et le regardant gode dans son anus. Puis viendra le moment où elle prendra dans ses deux orifices de plaisirs les queues suintantes de ces mâles vicelards de passage. L'éjaculation sera drue, forte, mais ce soir elle ne l'avalera pas. Il gardera le foutre sur lui trace d'une nuit pleine de fortes émotions. Madame se recouchera et touchera à nouveau ses têtons.

Je l'ai aidé à s'habiller ou du moins à passer sa guêpière et ajuster son string pour l'effet donné à nos yeux. Bel après-midi dans la chambre rouge et noire éclairée par deux bougies aux flammes chancelantes. Elle est là sur le lit, prête à s'offrir à genoux, cuisses écartées. A notre habitude, c'est un face à face qui se joue. Elle aime les torses d'hommes, elle aime les laper à profusion. Le désir de la voir de dos pour une fois juste une fois est trop fort. Je lui sussure à l'oreille de se tourner que cela ne sera pas comme d'habitude. Madame se tourne. Mes mains offrent les premiers massages sur ses homoplates, et ma bouche commence à goûter le cou de la belle. Les seins sont sortiis, les têtons durcissent au fur et à mesure. Ma main prend sa main. L'autre se glisse furtivement et lentement sous le string dentelle. Mes doigts viennent buter contre le bouton de plaisir tout durci par le désir. Il me serait presque inutile de toucher son clitoris tellement celui-ci est dressé mais je le malaxe doucement, le titille avec douceur. Le visage de madame change. Il se raidit, s'adouçit, se perd dans un pré-plaisir. Ma main prend sa main qui caresse ses seins. Et je lui offre de s'introduire à son tour sous son string dentellé de noir pour se donner du plaisir. Mon sexe est raide il vient taper sur son string et sur le bas de son sexe si goûteux. Madame est heureuse. Elle s'ébranle, se branle, fait tanguer ses hanches contre mon corps. Mes coups de sexe sur sa chatte la font sursauter. Elle est prête, fin prête. 

Elle s'offre à moi, en levrette, se cambre, et continue à faire durer son plaisir. Mon sexe est raide, épais, turgescent. Le gland gonflé vient buter contre ses lèvres gouteuses à souhait. Il est temps. Je la pénètre et m'enfonce au plus profond de la cage de plaisirs en va-et-vient longs tantôt lents tantôt rapides au gré du rythme masturbatoire qu'elle s'applique. Sa tête est contre la couverture, au bord du lit. Je rentre, je sors, je rentre en entier raclant les zones intérieures de sa chatte. Je sors mon sexe jusqu'au bord de ses lèvres hypersensibilisées par la pénétration. Elle gêmit de longs râles, de longs cris en redemendant encore et encore. Je repars à nouveau dedans plus fort plus rapidement. Mes coups de sexe poussent son corps. Sa tête a dépassé le bord du lit, à la limite du vide. Elle se masturbe son clitoris plus fort encore plus fort. Je sors et j'écarte sa chatte au maximum en la tirant par les lèvres et en l'exhibant à mes yeux remplis de vice. Je rerentre me penche sur elle la pénètre jusqu'au fond et lui fait goûter tout le jus que sa chatte me dessert. Je prends ses têtons dans mes doigts et je tire dessus pour donner encore et encore du plaisir. Ma chienne d'amour est au bord de la jouissance. Je saisis le gel et en place une noisette sur mes doigts tout en continuant à la fouiller de mon sexe. Je lubrifie son anus. Et j'introduis mon pouce. Doublement pénétrée par un sexe et un doigt Madame continue à se branler plus fort. Mes coups de sexe dans son orifice deviennent plus rapides plus forts plus secs. L'orgasme arrive. Elle s'ébranle dans tous les sens, tremble de jouissance, crie, et éructe. Je la repénètre encore plusieurs fois. Elle se redresse doucement et lentement. Je sors de sa cage définitivement. Je la laisse reprendre ses esprits et je me pose sur le dos. La revoilà en position de petite chienne prête à sortir sa langue sur le cadeau que je lui offre :  mon torse.

A suivre....

eaA suete

Cybersex

Une quarantième ecume de vice  rugissante,

Perdue dans son ordinaire toujours insignifiante,

On l'appelait sans grande exatase Madame A 

Elle s'appellera dorénavant  Miss Agatha.

Sirène dansante dans tous ses sens,

Sorcière fatale comme elle se pense,

Elle s'expose, elle propose et elle dispose

C'est par le stupre, c'est par les mots qu'elle ose.

Crayon à cils, yeux plein de fard,

Elle s'adonne au tchat en hard,

On tournera le plus grand spot, 

Et celui-là était  très soft

dit-elle

et elle sait qu'elle y excelle...

Ebuliton du tout vortex,

Elle appelle cela le cybersexe....