maitredessens

Dans l'alcôve le plus recouvert par les couvertures, les amants se glissèrent et se livrèrent à des jeux entre glace et froid. Il était un véritable feu ambiant et sa peau à elle n'était que glace de l'hiver qui se préparait. Elle se transforma dans son panthéon de personnages. La vouivre ? La dominatrice ? La femme infidèle ? La libertine ? L'incitatrice ? Un peu tout à la fois. Elle ne sucera pas son membre ce soir-là. Lui a commencé, comme à son habitude à se caresser son phallique objet sous les draps. Elle lapera longtemps très longtemps ses péchés mignons. Les hommes, leurs torses, leurs têtons elles en raffole. C'est comme cela elle aime les travailler, les titiller, les pincer pour sentir l'être sous elle sortir de son rôle et devenir ce qu'on lui sussure souvent à l'oreille. Il devient mec, mec salope, livré aux vices de madame. Dans le noir complet, ils parleront sex-shop, d'un engodage qu'elle lui pratique face à un porno dans une cabine à la porte entrebaillée. Elle imaginera en lui disant fort que deux hommes sont rentrés, sexe en mains qui les regardent, bavant devant la beauté parfaite de cette initiatrice vicieuse. Elle lui dit qu'elle les sucera, bien profondément comme elle lui fait, et qu'elle se fait prendre toute entière en se faisant vaginer copieusement et le regardant gode dans son anus. Puis viendra le moment où elle prendra dans ses deux orifices de plaisirs les queues suintantes de ces mâles vicelards de passage. L'éjaculation sera drue, forte, mais ce soir elle ne l'avalera pas. Il gardera le foutre sur lui trace d'une nuit pleine de fortes émotions. Madame se recouchera et touchera à nouveau ses têtons.