maitredessens

Je vous entends comme si vous éitez ici Madame,

Je vous vois comme si vous étiez là,

Debout fière et franche, de bas, cuissardes, manteau de cuir, 

Cravache en main esquissant large sourire.

Pour apparat je n'ai que string,

Pour habillage je n'ai que collier,

Pour attache je n'ai que laisse, 

J'attends pluggué votre moment de liesse.

Le maitre devient esclave par jeu,

La chienne devient domina pour jouer avec le feu,

Esclave sexuel, pour une nuit, juste cette nuit,

Et demain tout sera comme avant....ou pas. 

Elle est entrée d'un pas décidé et elle sait, elle sent monter,

Son maitre des sens la prépare au vice et à ses essences,

Pour tout apparât madame est harnachée,

De ses beaux bas autofixants récemment achetés,

D'un string qu'à paris dont elle s'est habillée.

Le soutien-gorge bourgeois en dentelle,

Laisse apparaître la magnificence de ses seins,

Aux têtons tout durcis le luxueux dessein.

Maitre des sens a choisi l'objet,

Qui viendra ouvrir l'anus serré et encagé,

Il était un temps au début de la transformation,

Ou Madame s'adonnait à la photo en guepière en réflexion au miroir,

Miroir joli miroir,

Bourgeoise en manteau cuir en noir,

Cuisses écartées, s'exhibant à sa propre volonté,

Il n'y a pas ici de soumission, ni de domination,

Mais tout le vice dans sa grande dimension.

Elle veut, elle désire, elle s'est apprêtée,

A être possédée, fouillée, et plugguée.

Maitre des sens pointe l'objet devant le trou si convoité,

Il remettra plusieurs fois l'ouvrage,

Sans jamais provoquer l'outrage,

La cavité anale s'ouvre doucement,

Laissant passer le cone en latex surement,

Il n'y a plus qu'à caler,

Le socle entre le fessier,

Madame est plugguée.

Comme un guide Maitre des sens,

Ouvre le string de dentelles et elle pense,

La main fatale de Madame descends,

Toucher le bouton clitoris saillant.

Elle dansera, tanguera, se voyant en reflet,

Garce fatale, bourgeoise devenue chienne anale,

Jusqu'à jouir et encore jouir de son ansus ouvert,

Par ce pieu de bonheur en l'honneur du mâle.

Elle se rêve en diamètre plus fort écartée,

Elle s'imagine avec ses amants au café le plug bien posé,

Toute de cuir vêtue et habillée,

Prête à aguicher, allumer, et se montrer,

En chienne anale, garce fatale magnifiée,

Prête dans le stupre à s'oublier.

Il fût un temps où Maitre n'était qu'une lointaine particularité. Mais plutôt commençait à apparaître ses  qualités de metteur en scène de scénarios. Qui avait initié l'l'autre on ne sait pas ne sait pas trop mais comme si tout communiquer entre eux en matière de vice. Elle lui dit oui à un scénario alors il se mît à écrire, ecrire encore. Tout était détaillé, inscrit comme pour sceller un pacte. Si il l'habilla ou si elle s'habilla, on ne sait plus. Mais à partir de ce moment-là la dualité du rouge et du noir devinrent leur entité. ELle apparût en bougeoise hautaine, bcbg, hautaine, un tantinet pêteuse mais doublée d'une envie libertine qui resplendissait sur elle.

Talons aiguilles rouges, bas noirs autofixants, guêpière rouge, veste rouge et noire en 3/4. Maquillée comme les bourgeoises qu'il regardait en accéléré sur son magnetoscope usé. Oui elle était comme il le souhaitait, comme celles qu'il adulait en secret. Sa poupée de luxure et de vice était face à lui. Jambes croisées, toute trempée d'excitation.

Elle entrouvrait sa guêpière laissant échapper ses seins aux têtons bandés par le désir d'être regardée, exhibée. Les préliminaires fûrent bien-sûr très longs. Elle était belle à baiser, à coucher. Même la manière de fumer sa cigarette l'excitait et gonflait son pantalon à pinces noir. Son membre était tellement bandé que le pré-sperme transperçait le tissus. Il ne fallut pas longtemps pour qu'elle passe la main dans son string à dentelles noires et qu'elle se branle sur les volontés du maître de séance tout en le suçant. Ils jouirent ce soir-là mais il ne savaient plus réellement pourquoi, si cela était pour avoir réalisé ou par réell désir charnel. Mais la cérébralité était installée. Ils ne savaient pas encore que le libertinage commençait doucement à s'installer entre eux. Ce fût un long début pour elle et un long chemin pour lui. Ce fameux fantasme du "resto" resta ancré dans leurs esprits au plus profond de leur vortex et bien des années après le souvenir remonte et ressurgit comme pour leur rappeler à quel monde ils appartiennent. C'était en rouge en noir. Et ils adorèrent cela.